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Depuis 2010 que ce site est ouvert. Écoutant des trucs divers mais pas autant que je le souhaiterais à cause d'un emploi du temps parfois chargé, l'affection que je porte aux musiciens et aux interprètes m'a donné envie de partager au plus grand nombre.
Après un blog dédié au théâtre et à mes activités théâtrales ICI et un autre dédié au cinéma PAR-LA, il me paraissait tout naturel d'en faire un, dédié à la musique.
Celle qui sort des sentiers battus et purement commerciaux des ondes radios, celle qui me fait vibrer et passe de l'oreille externe à l'oreille interne sans rien écorcher.
Condition indispensable pour la transmettre de mon oreille interne à votre oreille externe.
Wilfrid RENAUD



lundi 22 août 2011

HUGH LAURIE : Let them talk

Hugh Laurie. L’homme est plus connu pour déambuler avec sa canne dans la peau du sarcastique Dr House, série célèbre d’une chaîne télévisée, souvent bien moins inspirée que cet album qui sent les clubs de la Nouvelle-Orléans et les bayous du fond de la Louisiane.
Car Hugh Laurie en plus d’être excellent comédien, chante, pianote, gratte et utilise à l'occasion quelques percussions.
Il est énervant quand même d'avoir autant de talents à la fois ! Bon d’accord, il n’est pas tout seul sur l’album et s’est entouré de musiciens chevronnés dont le nom ne vous diront sans doute rien. (Comme à moi d’ailleurs).
J’en prends quand même quelques uns au hasard : Jay Bellerose aux percussions ; Kevin Breit à la guitare, mandoline et autres cordes ; David Plitch à la basse, Patrick Warden aux pianos additionnels ; Graig Eastman aux violons….

Sa voix, sans être transcendantale, s’intègre bien à ce blues d'un autre temps. Et si ses origines anglaises n’ont pas l'âme et le vécu de ces blues man venus des champs de coton qui ont connu la ségrégation, Hugh Laurie s’amende de ce handicap avec une implication sans faille et une générosité contagieuse.

Merci Docteur, pour ce remède à notre oreille interne !

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