Le dernier album de Juliette est dans les bacs depuis le 10 janvier dernier. Avec elle-même à la direction musicale accompagné de Vincent Segal. Et mixé par Stuart Bruce qui a travaillé avec Peter Gabriel et Sting.
Passée la très belle chanson "La lueur dans l'oeil", l'auditeur a vite l'impression de faire une jolie promenade en compagnie de Mademoiselle au coeur de Paris, à l'image de "Rue Roger Salengro", où l'on va croiser l'esprit de Prévert (Dans ma rue), de Salvatore Adamo (Une chose pareille), de Gainsbourg (Les dessous chics) et d'Amoldovar (Volver) dans des versions aussi inattendues que réussies.
Passée la très belle chanson "La lueur dans l'oeil", l'auditeur a vite l'impression de faire une jolie promenade en compagnie de Mademoiselle au coeur de Paris, à l'image de "Rue Roger Salengro", où l'on va croiser l'esprit de Prévert (Dans ma rue), de Salvatore Adamo (Une chose pareille), de Gainsbourg (Les dessous chics) et d'Amoldovar (Volver) dans des versions aussi inattendues que réussies.
Malgré une bonne homogénéité de l'ensemble de l'album, il semblera, aux fans de la première heure, manquer une chanson de type "fantasmagorie démesurée" telle que Le sort de Circé, L'éternel féminin ou Rimes Féminines où la voix de la chanteuse se laissait aller à des vibrations surnaturelles et irrésistibles.
Ben oui, ça manque mais fallait pas nous habituer aussi...
Mis à part ce petit point, Juliette et ses garçons réussissent le tour de force d'aligner plusieurs textes dont on se surprend à siffler rapidement le refrain : "Un petit vélo rouillé", "Rue Roger Salengro", "Madrigal moderne" (ma préférée), "The single" (sympathique pied-de-nez aux idoles feu de paille et à l'industrie du disque), et même le joyeux "Rhum-Pomme" qui nous font dire : "Y'a plus de saisons...le printemps est là de bonne heure cette année !"
Mis à part ce petit point, Juliette et ses garçons réussissent le tour de force d'aligner plusieurs textes dont on se surprend à siffler rapidement le refrain : "Un petit vélo rouillé", "Rue Roger Salengro", "Madrigal moderne" (ma préférée), "The single" (sympathique pied-de-nez aux idoles feu de paille et à l'industrie du disque), et même le joyeux "Rhum-Pomme" qui nous font dire : "Y'a plus de saisons...le printemps est là de bonne heure cette année !"
N'oubliez de vous procurer les autres albums si vous ne les avez pas encore.